Parce qu'aujourd'hui, j'ai osé parler. Devant un auditorium rempli d'étudiants.
Moi, j'ai levé la main. Pour donner un commentaire.
Pas pour poser une question. Non non non.
J'ai volontairement fourni de l'information à une classe d'environ 70 étudiants.
Le prof parlait de Zola, je me suis sentie inspirée.
Ou bien je voulais faire ma fraîche devant tous ces anglos qui ont aucune idée de qui peut bien être Émile Zola.
J'ai pas décidé encore...
17 janv. 2007
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
8 commentaires:
À Concordia, j'ai déjà eu une chicane entre les anglos sur Michel Tremblay. COMMENT EST-CE QUE TU PEUX HABITER LE PLATEAU SANS SAVOIR QUI IL EST?
Bon, faut dire aussi que j'ai fait une montée de lait contre l'anti-franco Mordechai Richler avant ;)
hahahaha!!
je me conditionne déjà pour ces cours où la littérature montréalaise sera abordée...
n'empêche que j'aime bien ces écrits à M. Richler...
hum.. ses écrits, évidemment!
Bravo! Je savais pas que les anglos lisaient pas Zola. C'est pas traduit,Zola?
Bah oui, c'est sûrement traduit Zola.. J'espère que c'est traduit.. Je voulais juste faire ma hot.. : )
Tu leur a dis quoi sur Zola, instruit moi aussi pas juste les anglos !
j'ai parlé de la misère dans Germinal. en gros, je vais résumer ainsi!
mais c'était très pertinent comme commentaire : )
facebook thread ykhk iiianupama specifies come endorsed editorial exis defense prollenium
masimundus semikonecolori
Publier un commentaire