7 juin 2007

Compte-rendu d'un rendez-vous manqué et à quand l'internet chez David et Josée

Vendredi, 1er juin.
J'avais hyper hâte à cette date depuis beaucoup trop longtemps. Depuis le temps où il y avait encore de la neige dehors (sûrement la semaine passée). Parce que c'était la date du show de Feist à l'Olympia. Et parce que je l'aime beaucoup Feist.
Date fatidique arrivée, direction Olympia où semble se réunir la quasi-totalité des personnes gravitant autour de moi dans ce monde. (Notons ici une légère exagération).
Toujours est-il qu'en plus des gens qui gravitent autour de moi, y a aussi la population de la terre entière qui se trouve à l'Olympia. Y a vraiment beaucoup, beaucoup de monde. Beaucoup.
Et, ô joie, nous sommes tout près en avant. Woupdidou.
Première partie commence. J'ai chaud. Je trouve ça moche. Je le dis. "Hey.. C'est ben pas bon ça..." Ils changent de chanson. Je change d'idée. Je le dis. "Ouin.. Finalement c'pas si pire que ça..." Et là, bang! J'ai mal au coeur. Je le dis. "David, j'ai mal au coeur." "Beaucoup?" qu'il me répond.
Et là, y a comme eu un espace-temps, probablement beaucoup de lobbying aussi, entre mon estomac et le Saint Esprit parce que ceux-ci m'ont permis de me frayer un chemin hors du parterre, de monter les marches et de me rendre, à temps, aux toilettes. Ouache dégueu. En plus, les toilettes de l'Olympia sont munies d'oeils magiques pour mieux flusher dans la face de ceux qui se retrouvent la tête au mauvais endroit.
Toujours est-il que suite à cette magnifique histoire, la chaleur qui régnait dans la salle ma parut insupportable. L'odeur aussi.
Voilà le récit du comment j'ai réussi à manquer le show de Feist.

Conseil de la seule fille au monde qui vomit avant que le show commence : Achetez la marchandise après le show. Parce que quand quelqu'un te voit avec un sac de Feist et te demande comment était le show, tu veux l'abattre. Littéralement.


Oh. Et l'internet arrive vendredi prochain.
On trépigne, dieu qu'on trépigne.

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